Un Fou Dangereux...

 

Emission intéressante ce soir sur France 2.

 

Le sujet? Un fou dangereux, qui ne s’est jamais remis de la chute du mur de Berlin.

Avec un consensus qui me réjouit (oublions vite les bouffonneries des Lepen, Zemmour et Mélenchon), puisque c’est aussi mon avis depuis plusieurs années: un « front autoritaire » se met en place, qui est incompatible avec les démocraties.

Non, l’Ukraine ne présentait aucune menace pour la Russie, sinon celle de faire montre d’un développement économique et démocratique dont Poutine a été incapable chez lui.

Poutine, de toutes façons, n’aiment pas la démocratie: il en a même peur.

Non, l’OTAN « n’encercle pas la Russie ». Non, l’OTAN n’est pas ce qui a mis le feu au poudres: il n’a jamais été question pour l’OTAN de « menacer » la Russie. L’OTAN est le prétexte d’un fou dangereux, le prétexte d’un taré psychopathe, le prétexte de Poutine.

Un Poutine qui parle de « dénaziller » l’Ukraine, un Poutine qui rappelle sans sourciller qu’il est capable de rayer de la carte un pays, y compris la France, « avant qu’il ne s’en rende compte », juste après avoir prétendu que l’Ukraine menaçait la Russie, un Poutine capable de prétendre que l’Ukraine est coupable de génocide.

Poutine est un fou dangereux, je l’ai déjà écrit. Mais il n’est pas seul.

Lui veut restaurer le grand empire Russe. Un autre veut restaurer l’Empire du Milieu…

En Chine, au Vénézuela, en Corée du Nord, en Biélorussie, en Tchétchénie, et j’en passe, il y a aussi des petits Poutine qui attendent leur heure.

Désolé pour tous ceux qui cherchent des « excuses » à ce fou, mais rien, absolument rien, ne justifie l’agression de la Russie sur l’Ukraine.

Nous devons, plus que jamais, être vigilants, et particulièrement fermes: la réponse de l’Occident conditionnera l’avenir du monde. Les dictatures sont en embuscade, observant la force de notre volonté à rester libres.

Mon soutien au peuple Ukrainien, mais aussi au peuple Russe, qui mérite mieux qu’un va-t-en guerre psychotique, ainsi qu’au peuple Chinois, et à tous les peuples qui, conscients ou non de l’être, sont les pions d’individus malades prêts à tout pour leur rêves de grandeur.